Jane Goodall, la grande primatologue
Jane Goodall s’installe au Parc National de Gombe pour étudier les chimpanzés. Elle s’immerge dans la communauté des primates pour les observer.
Jane Goodall s’installe au Parc National de Gombe pour étudier les chimpanzés. Elle s’immerge dans la communauté des primates pour les observer.
Thelma et Louise, film de Ridley Scott datant de 1991 a inspiré de nombreuses générations de jeunes femmes et nourrit les fantasmes de liberté…
Les Amazones montent le cheval à califourchon, les Amazones portent des épées et des arcs. Les amazones sont redoutables et destinées à être guerrières.
Alexandra David-Néel est une femme à l’esprit aventureux mais aussi une grande savante, qui ne demande qu’à être découverte encore et encore.
Et non… Calamity Jane n’est pas une légende, elle a bien existé, en chair et en os ! Mais elle est un véritable casse-tête pour les historiens qui tentent de démêler le vrai du faux. Effectivement, elle a écrit son autobiographie sur un petit tract qu’elle distribuait, sans doute pour se faire connaître, mais aussi pour renforcer le mythe qu’est sa vie.
En voilà, un thème insolite ! Plus que tout autre personnage historique, le pirate fascine. Par sa liberté, sa soif de richesse (et de sang !), le pirate attire. On pense tout de suite au beau pirate rebelle comme Jack Sparrow (interprété par Johnny Depp) mais le pirate, c’est aussi et surtout dans l’imaginaire l’ivrogne édenté, le vrai flibustier du 17ème siècle !
Tout d’abord, il faut se mettre en situation. Fermez les yeux. Imaginez un petit village de bois, dont les rues sont arpentées par des femmes en robe longue et des filles de joie, sentez la fraicheur des forêts de conifères, du vent froid du Nord… C’est un peu le décor dans lequel Charmian a évolué, peu après son mariage avec le célebrissime Jack London, qui aura lui-même énormément écrit sur la Ruée vers l’Or de la fin du 19ème siècle, au Klondike. Mais parce qu’elle ne définit pas seulement par sa relation avec London, Charmian mérite un article à elle seule.
Matoaka signifie « petit espiègle » en langue algonquin, et non réellement « petite dévergondée » au sens sexuel du terme. Pocahontas a été surnommée ainsi dans sa jeunesse car c’était une jeune fille très joyeuse et rusée.
Il faut bien dire que le monde de la science-fiction est un monde essentiellement masculin. Les héros des plus grandes histoires du genre sont des hommes, et lorsque des femmes sont mises au premier plan, comme dans Alien, le film de Ridley Scott, elles ne respirent pas franchement la féminité : cheveux courts, armes à feu et silhouette musclée.
Ce nom ne vous dit pas grand-chose ? Je vous rassure : c’est naturel. Et pourtant… Amelia Earhart est l’incarnation même de LA femme aventurière, pionnière, mais aussi libérée… Effectivement, difficile de ne pas voir l’implicite dans ses exploits : Amelia a été la première femme à traverser l’océan Atlantique, en 1928 !